Comment perdre la guerre contre le terrorisme

L’ acte de terrorisme perpétré à Nice a provoqué la mort de plusieurs dizaine de personnes, s’ajoutant à la liste de ces nombreux attentats ayant déjà eu lieu sur le sol français. La tristesse et le chagrin des survivants gravement choqué et les personnes qui ont miraculeusement survécu, devront maintenant survivre à la perte d’un être cher et affronter leurs souvenirs horribles.

Il semblerait qu’il y ai eu des manquements graves à la sécurité qui n’aurait pas été appliqué efficacement.  Les nombreux vacanciers provenant de Madagascar, des États-Unis ou d’ailleurs, ont payé pour les négligences de ces services de police ou de ces « autorités compétentes ». Ces innocents ont perdu la vie en voulant assister à cette fête du 14 juillet 2016, le symbole de la France et de la liberté.

Ce livre est écrit par un homme en colère. Colère naturellement à l’encontre des auteurs d’actes de terrorisme et envers ceux qui les soutiennent. Mais colère aussi devant les insuffisances, les défaillances, les manquements qui empêchent la lutte contre le terrorisme et ses conséquences d’avoir l’efficacité que le citoyen est en droit d’attendre. C’est de cela qu’il sera question dans ce livre que j’espérais ne jamais avoir à écrire.
Car il est possible de perdre ce que les pouvoirs publics appellent la « guerre contre le terrorisme » : en suivant les « dix commandements » analysés ici, cette contre-performance est réalisable. Est-il encore temps de changer de
stratégie ?

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